Synopsis : Sandrine Leroy annonce à son mari Christophe qu’elle veut divorcer. Leurs enfants ont bientôt l’âge de quitter la maison. Dans une opération de la dernière chance aussi audacieuse qu’invraisemblable, Christophe organise un week-end pour sauver son mariage : un voyage passant par les endroits clés de l’histoire de leur famille. Un voyage qui ne va pas être de tout repos…
Casting : Charlotte Gainsbourg, José Garcia, Hadrien Heaulmé, Lily Aubry, Lyès Salem, Luis Rego, Jérome Niel, Sébastien Chassagne, Baptiste Lecaplain, Benjamin Tranié, Adrien Ménielle, Justine Le Pottier, Simon Astier, Sophie Marie Larrouy, Vincent Tirel
Producteurs délégués : Nolita : Mathieu Ageron, Maxime Delauney, Romain Rousseau
Assistant à la réalisation : Franck Helson
Ingénieurs du son : Philippe Welsh, Boris Chapelle, Benjamin Rosier, Matthieu Langlet
Scénariste : Florent Bernard
Directeur de la photo : Julien Hirsch
Directeur de production : Luc Martinage
Attachées de presse (film) : Leslie Ricci, Audrey Le Pennec
Monteur : Quentin Eiden
Scripte : Mylène Mostini
Décors : Frédérique Doublet, Frédéric Grandclere
Directrice de casting : Tatiana Vialle
Costumes : Camille Rabineau
Responsable de la post-production : Aurélien Adjedj
En collaboration avec le compositeur Alexis Rault.
Les Leroy - Juste un week-end - 34, Rue du Carrouge - Best Hotel - Le Banc des Souvenirs - La surprise - L'Histoire est Belle
Mon approche sur la musique d’ouverture du film fusionne étroitement à l’histoire des personnages à l’écran. Une mélodie joyeuse où l’on voit le couple se rencontrer, heureux, amenant à un climax avec la naissance des enfants et des jours heureux. Musicalement j’ai voulu transformer mon thème au fur et à mesure, en une boucle musicale redondante, en mineur, et au piano. Cette boucle de la routine, un ralentissement du tempo de la musique, comme si avec nos deux personnages, tout s’était épuisé.. lassé... terminé. Ce travail de composition est proche de ce que nous avions déjà réalisé par le passé avec Florent, inspiré également par le travail de Moby ou encore Sebastien Tellier.
La construction de la conclusion se fera de la même manière, en étroite collaboration avec l’artiste Maxence. Instrumentalement, je souhaite conclure cette histoire, commençant par une ultime émotion à l’arpeggiator, conduisant progressivement à un climax avec une touche d’espoir, légère, comme une sorte de renaissance de cette famille. L’idée étant de répondre en miroir au travail réalisé sur l’introduction du film. Le texte est écrit et interprété par Maxence, clamant “L’Histoire est Belle”, comme si l'essoufflement de cette famille et l’idée semée d’embuches de Christophe, ne suscitait finalement pas à un futur plus apaisé ?
Les musiques format roadtrip ont une teinte plus hip-hop et aussi plus retro, l'idée étant de partir à l'aventure avec les personnages, mêlant la réalité de l'histoire et la nostalgie des années passées.
